La pandémie de COVID-19 a de lourdes répercussions sur la vie professionnelle des travailleurs les plus vulnérables des chaînes d’approvisionnements. Ces derniers mois, beaucoup de détaillants et la plupart des grandes marques de mode ont choisi d’annuler des commandes importantes et de retarder les paiements pour leurs fournisseurs. À l’échelle de l’industrie, la crise du coronavirus entraîne la prolifération de la nécessité de procéder au changement systémique. Alors que les magasins de détail continuent de fermer et que les consommateurs sont contraints de rester chez eux, les demandes de vêtements ont chuté.
Cette situation amène les consommateurs à redéfinir et à réévaluer leurs priorités sur quoi ils doivent dépensent leur argent. Cela risque aussi de provoquer un ralentissement considérable des tendances mode pendant une période indéterminée et de pousser les grandes entreprises à se concentrer sur la réduction de la production de produits de haute qualité pour optimiser la rentabilité. Pourtant, les entreprises et les consommateurs devront apprendre à s’adapter aux nouvelles normalités. Consultez le bilan après 1 an effectué par le carnet du parisien pour en savoir plus sur la situation économique et sanitaire du pays.
Défilés de mode
Les défilés de mode physiques ont été annulés, avec les restrictions imposées par le gouvernement aux rassemblements sociaux et aux grandes foules. Ceux-ci ont toujours constitué un élément fondamental de l’industrie de la mode puisqu’ils peuvent contribuer à la création du buzz et permettre aux œuvres des créateurs d’être vus par le public, au moyen des publireportages et des réseaux sociaux. Les défilés sont également un aspect essentiel du prestige et de l’image des marques. La crise du COVID-19 qui oblige les entreprises à annuler tous les défilés de mode entraîne une nouvelle vague de créateurs prenant la résolution d’organiser des défilés virtuels. Cette nouvelle pratique risque de perpétuer la tradition des défilés annuels.
Mode de détail
L’industrie de la mode au détail fait partie des industries les plus affectées par les restrictions, particulièrement pour les boutiques physiques:
- La production de vêtements a été obligée de s’arrêter parce que les usines sont aussi contraintes de se soumettre aux restrictions et de fermer.
- Pour les consommateurs continuant d’effectuer leurs achats pendant les fermetures, ils ont tendance à se tourner vers les achats en ligne ou le commerce électronique pour tirer parti d’une grande praticité que l’e-commerce propose.
- Les besoins d’achat de nouveaux vêtements sont réduits.
- Les boutiques physiques sont obligées de fermer et ne sont pas en mesure de recevoir la clientèle sans rendez-vous.
La formation mode
La pandémie de COVID-19 a amené certains pays à entrer en quarantaine ou en confinement. Dès lors, les établissements, les écoles et les centres de formations choisissent de se tourner vers des cours en ligne. L’étude de la mode a été affectée et bouleversée par la crise du coronavirus. Les étudiants ont des difficultés à dénicher des boutiques ouvertes pour acheter des tissus ou des matériaux indispensables à leurs projets. Ceux-ci sont obligés de se tourner vers l’usage de leurs propres vieux tissus et d’effectuer le recyclage des vêtements. Cela est considérer comme l’effet positif du confinement pandémique. Les étudiants sont capables de repousser leur limite encore plus loin et de parvenir à trouver des solutions économiques et écologiques.